Bienvenue sur le blog VINCENT Hugues

Milles excuses pour les Articles qui n'ont plus d'images (elle ont toutes été perdues par GOOGLE, ayant changé la société qui les hébergeait.......)


+ COSTA Croisières Naufrage et ANTILLES



  






Qui 


se souvient du naufrage du paquebot Français les Antilles
 , il y a exactement 41 ans

dans les mêmes conditions que le COSTA CONCORDIA

      Le 8 Janvier 1971, il y a 41 ans le paquebot de croisière Français "LES ANTILLES" de la Compagnie générale transatlantique percutait un bout de rocher, non signalé sur les cartes, en frolant l'Ile Moustique, alors qu'il se rendait de La Guaira à la Barbade
      Le bateau est complétement détruit par un incendie, mais ne fait pas de victime.
      L'épave s'est brisée en plusieurs morceaux.
http://www.frenchlines.com/ship_fr_14.php

http://lagazettedebigbull.blogspot.com/2009/08/antilles-un-destin-tragique.html

11 commentaires:

  1. moi j'y étais et j'avais 5 ans !

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  2. Moi, j'étais sur Antilles et j'avais 5 ans et je me souviens de tout car c'est un évènement très marquant pour un enfant

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  3. Merci d'avoir précisé mon souvenir, quelle coïncidence de dates !
    Je m'en souviens,le récit de cet accident avait frappé le jeune passionné de mer que j'étais.
    Il me semble que le seuil rocheux avait rompu des soutes à mazout dans le fonds du navire et provoqué une fuite de fuel incontrolable dans la salle des machines d'où est parti l'incendie.

    Il me semble que le procès avait reconnu la responsabiité du commandant qui n'avait pas pris la distance critique nécessaire et prudente vis à vis de cartes anciennes (c'était bien avant la navigation par satellite...)

    J'ai interrogé une connaissance originaire de la Martinique née 10 ans les faits. Elle connait l'île Moustique mais ce naufrage lui étéait inconnu.

    MERCI DE NOURRIR NOTRE MEMOIRE

    Merci

    Merci

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    1. Erreur. La responsabilité du commandant, après enquête très approfondi, n'a pas été reconnu; il a été blanchi de toute faute professionnelle car il a été prouvé que les documents de navigation que le commandant KERVERDOU avait reçu de la compagnie générale transatlantique n'étaient pas à jour. Plusieurs documents l'attestent. Nota: je suis un ancien salarié de la C.G.T et ai navigué sur plusieurs paquebots (ANTILLES, FLANDRE, COLOMBIE, DE GRASSE,également sur LYAUTEY "très peu de temps" ainsi que sur ANCERVILLE) de l'ex-compagnie Navigation Paquet.

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  4. Il y a encore peu d'années, on voyait depuis Mustique une pointe du Antilles dépasser de la surface.

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  5. Il y a encore peu d'années, on voyait depuis Mustique une pointe du Antilles dépasser de la surface.

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  6. Je ne sais pas si le commandant était responsable mais je peux juste dire pour avoir vu en 1972 ce paquebot échoué devant l'ile Moustique qu'il était terriblement près de la côte pour un si grand bateau....

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  7. Que de nostalgie quand je lis certains commentaires et vois certaines photos de paquebots que j'ai eu l'immense joie et la chance de connaitre, de voyager à bord, en 1ère classe. Mon père qui était haut fonctionnaire d'état, à l'époque des colonies a, de part sa fonction, eut l'occasion d'être affecté dans différents pays d'Afrique Noire (SENEGAL, DJIBOUTI, COTE D'IVOIRE). Nous sommes originaires de la MARTINIQUE. Nous avons déjà voyagé sur à bord du LYAUTEY, ANCERVILLE, DJENNE ( de la Cie C.N.P), ANTILLES, FLANDRE, COLOMBIE, (de la Cie C.G.T), Pierre LOTI, CAMBODGE, Ferdinand de LESSEPS ( des M.M) et, pour en finir Général MANGIN et Jean MERMOZ. De tous les paquebots que j'ai déjà pris, ce sont ANTILLES, FLANDRE et COLOMBIE qui m'ont le plus marqué, non pas parce qu'ils desservaient la ligne des Antilles donc vers mon ile natal mais de part tout le cerémonial qui précédait leur départ, à Fort de France. Les bateaux partaient, soit à 22 heures ou minuit; de là, toutes les lumières du port s'éteignaient, il n'y avait que les lumières des bateaux qui illuminaient les quais et, après 3 coups de corne, reculaient, tout doucement, en arrière, accompagnés par l'inoubliable chanson "Adieu Foulard, Adieu Madras" chanson joué, soit par l'orchestre du bord, soit par diffusion de la chanson sur disque, par haut parleurs. On voyait certains passagers pleurer, idemn pour certains accompagnateurs restés sur le quai, en saluant avec leurs mouchoirs; c'étaient poignants; les bateaux, tout blanc, pivotaient dans la rade du port et saluaient, une dernière fois la MARTINIQUE, avant de prendre le large vers leurs prochaines destinations. Hélas, à ce jour, tout cela a disparu, les paquebots actuels ne sont plus aussi majestueux qu'avant, ils sont presque tous identiques, impersonnels, avant, au loin, on pouvait, de part sa forme, dire de quel paquebot il s'agissait, maintenant, cela n'est plus possible et l'ambiance à bord n'est plus la même.

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  8. Complément d'information: Je suis le blogueur (voir anonyme du 29 juin 2013 - 23h24): Auparavant: quant un paquebot partait, mËme si on n'était pas voyageur et que l'on s'y connaissait, on savait à quelle heure il allait appareiller car, 1/2 heure avant son départ, il cornait 1 fois pour inviter les personnes qui n'avaient rien à faire à bord (accompagnateurs) à quitter le navire puis, 1/4 avant le départ, il cornait 2 fois , toujours pour inviter les mêmes personnes à débarquer et, pour finir, à l'heure H, il cornait 3 fois pour inviter, une dernière fois les visiteurs à quitter le navire avant de décoller (environ 1/4 d'heure après) pour de bon. Pour décoller, le bateau était tiré par des remorqueurs car, à l'époque, sans ces remorqueurs, impossible de partir car l'époque, les bateaux n'étaient pas équipés d'Ipod comme maintenant; cela avait un certain charme. Qui n'a pas connu cette période ne peut pas comprendre.A ce jour, j'ai eut l'occasion de faire plusieurs croisières (méditerranée, caraibes, pacifique) et comme je l'ai déjà dit précedemment, cela n'a plus aucun charme comme avant, c'est le transport de masse, la rentabilité, il faut faire du chiffre et les équipages sont moins abordables qu'auparavant; on n'est qu'un numéro parmi tant d'autres ni plus ni moins, avant, c'était plus familiale, les relations étaient plus franches avec tous les membres d'équipages et des autres passagers. Dernière remarque, quand je vois tout le tapage, toute la publicité que l'on a fait autour du paquebot NORWAY (ex-FRANCE) je ne comprends pas ou plus très bien, pour la personne qui a connu ou voyagé à bord du FRANCE (comme moi), il n'y a aucune comparaison entre le FRANCE et NORWAY, le NORWAY n'était qu'une pâle copie du FRANCE, il n'avait plus le charme de FRANCE, ne parlons pas du luxe qui avait disparu, je considérais le NORWAY comme un transport de troupe (au risque de faire bondir certaines personnes).

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  9. Je suis le blogueur anonyme (voir mail du 29 juin 2013 à 23h24). J'avais déjà écrit d'autres souvenirs début juillet 2013 et je ne sais pas pourquoi ils n'ont pas été postés donc, je les reécris. A l'époque des transatlantiques, toute personne qui s'y connaissait pouvait deviner l'heure de départ des paquebots. 1/2 heure avant le départ, le navire cornait 1 fois pour inviter tous les visiteurs à débarquer car, à l'époque, on pouvait monter à bord pour accompagner des voyageurs; 1/4 avant le départ, il cornait 2 fois toujours pour le même motif et à l'heure "H", il cornait 3 fois (dernier avis avant décollage), conclusion: entre le 1er avertissement et le dernier, on avait 1/2 pour dire au revoir, ensuite, le navire quittait le port environ 1/4 heure après les 3 derniers coups, tiré par des remorqueurs car, à cette époque, les navires ne pouvaient pas manoeuvrer tout seul, ils ne possédaient pas d'Ipod comme maintenant. Autre chose, je me souviens que, à bord de tous les paquebots de la TRANSAT que j'ai pris, en 1ère classe, il y avait des grooms en livré rouge pour vous venir en aide, toujours à votre disposition, il y en avait qui étaient uniquement affectés aux ascenseurs, vous ne vous occupiez de rien, ils étaient très discrêts (comme tout le restant de l'équipage) et étaient toujours là en cas de besoin. Une dernière chose, concernant le paquebot NORWAY (ex-FRANCE), quand j'ai vu que l'on continuait à l'appeler par son ancien nom, à mon avis, c'était n'importe quoi, il n'y avait aucune comparaison; les personnes qui l'on connu au temps de sa splendeur et après (NORWAY) seront, d'après moi, du même avis que moi, la splendeur, la majesté du FRANCE avait disparu surtout après ses différentes tranformations pour en faire, en quelque sort, un transport de troupe, le FRANCE et le NORWAY, c'était le jour et la nuit.

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  10. Mon père naviguait sur ce navire, j'aimerai retrouvé des personnes ayant navigué avec lui

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