Bienvenue sur le blog VINCENT Hugues

Milles excuses pour les Articles qui n'ont plus d'images (elle ont toutes été perdues par GOOGLE, ayant changé la société qui les hébergeait.......)


DUCATO BOXER JUMPER moteur essuie-glace

L' essuie-glace qui a déjà été en panne totalement il y a 1,5 an, et donc changé et qui a coûté 600€.
Cette fois en panne, il n'est plus INTERMITTENT,  mais marche rapide et au coup par coup. (et plus sous garantie )
Ce n'est donc pas le fusible, mais on peut accuser le fait que le moteur est situé sous la parbrise qui n'est pas étanche et donc mouillé bien qu'ils aient prévu une protection caoutchouc qui tombe !

Un garagiste artisan pro, prétend que c'est le comodo, et un devis de près de 1000€.
L'agent FIAT, consulté, propose un rendez vous "recherche de panne" à 85 € l' heure ! car sur le Ducato une telle panne peut (dit-il !)  provenir de :
- Le fusible,
- le comodo au volant,
- les câbles dans le "faisceau ",
- la "centrale" (où  ?),
- le moteur. 
Il faut savoir que le bloc moteur sur le DUCATO, intègre un circuit électronique qui règle le fonctionnement de l'essuie-glace, et surtout le retour des balais en position basse à l'arrêt  (contrairement  à certains véhicules  qui ont un dispositif  ailleurs que sur le moteur)
Aux dires de Fiat, ça  peut coûter jusqu'à 1200€ ! 
Donc, faut trouver une solution :
On a trouvé un moteur neuf à 87€ ttc chez un distributeur automobile (sans marque  mais curieusement identique au modèle d'origine Fiat) 
Avant de tout démonter, on a testé en débranchant  le moteur et  en raccordant le neuf pour essayer : OK Ca MARCHE :

Mais problème  : la broche est peu accessible et surtout verrouillée :








donc, trouver une lame fine pour déverrouiller en levant en tirant
Bilan, mon moteur à 87€ marche impeccable ! 
Il faut maintenant démonter,  çà va m'occuper 
Je vais publier prochainement  le test électrique que j'ai fait sur la broche normale.



une batterie de téléphone

sous le plastique, se trouve un circuit électronique qui régule la tension et contrôle le chargement

+ "POLICE" DES CHEMINS DE FER

Ils se prennent pour qui, tous ces "Cows boys" ?

Je les voient régulièrement, ils ne me rassurent pas, ils sont sur les bouts des quais, en train de fumer entre 2 trains (ce qui est inerdit sur les quais), même pas en face des portillons où ils pourraient voir les gars qui passent sans billets, et traversent les voitures en "roulant des épaules", bousculant les voyageurs sans ménagement, pour montrer qu'ils sont là. 




 Image illustrative de l'article Sûreté ferroviaire
SUGE
De drôles de "policiers"

  
La tâche des agents est fondée sur un texte qui remonte au XIXe siècle, la loi du 15 juillet 1845. Pour assumer leur mission, l'article 23 donne pouvoir aux agents dits « de surveillance » de faire constater les crimes, les délits et les contraventions à la police des chemins de fer. Hormis cela, aucune prérogative, pas de facultés de puissance publique.

En 2006, il fut décidé au sein de la SNCF de transformer l'appellation police ferroviaire par celle de sûreté ferroviaire (appellation devenue indispensable pour éviter la confusion avec le nouveau Service Nationale de Police Ferroviaire (SNPF) de la Police Nationale créé en 20069 et qui fut jugée plus commerciale par la SNCF). Cette mutation de l'appellation du service fut effective fin 2009 avec l'arrivée d'un nouvel uniforme. La transition d'appellation et le changement d'uniforme furent réellement terminés fin 201010.
En 2011, le gouvernement se lance dans une politique de sécurisation des réseaux de transports en Île-de-France à la suite d'une forte hausse de la délinquance. Afin de réaliser cette politique le ministre de l'intérieur, M. Claude Guéant, demande à la SNCF de recruter 300 agents de sûreté ferroviaire sur 1 an ce qui fait passer les effectifs de la SUGE de 2400 à 2700 agents entre 2010 et fin 201111.

Ainsi, ces policiers du troisième type ne sont normalement pas autorisés à exiger des papiers d'identité lors d'un contrôle MAIS  ce service est composé de cheminots sous statut SNCF, assermentés, agréés au relevé d'identité (avec une compétence nationale)  Solliciter avec politesse est leur seul droit. La solution : faire comme si. « En espérant que l'individu ne connaît pas la loi », concède un agent de la Suge.

Ce même salarié reconnaît que les brassards « Police ferroviaire » servent aux employés de la Suge à se faire passer pour ce qu'ils ne sont pas, à savoir la force publique. Surtout quand, lors des interventions, les agents crient fort « Police ! » et un ton très en dessous « ferroviaire ». Confusion d'autant plus facile que les uniformes de la Suge ressemblent à s'y tromper à ceux de la Police nationale. Par ailleurs, aucune loi n'autorise le corps de sûreté à utiliser le terme de « police ». « Une tradition », assure- t-on à la tête de la SNCF. Mais aussi une usurpation.

Pas facile de s'y prendre autrement. La faute à l'Etat, qui a choisi de laisser la SNCF se débrouiller seule ou presque dans son pré carré (voir encadré ci-dessous), en omettant d'accorder à la compagnie des armes juridiques à la hauteur des besoins.

De fait, les chiffres sont mauvais. Les bilans virent à la catastrophe : sur le réseau, les violences contre les voyageurs ont augmenté de 21 % en 1999, soit, finalement, 5 agressions par jour en moyenne. A quoi il convient d'ajouter 2 attaques par jour contre des agents de la SNCF. Premiers visés : les agents de la Police ferroviaire, la Suge, ceux-là mêmes qui sont justement censés faire respecter l'ordre. Et qui sont dépassés. Ce n'est pas faute de courage. A raison d'un effectif total de 1 600 pour la France, dont 700 en région parisienne, ils ne peuvent venir à bout du phénomène galopant.



pareil pour cette "police" RATP
 





Deux agents de la SNCF simulent une agression pour partir en vacances

Pour obtenir des congés payés, deux employées de la SNCF ont eu une idée ! Elles ont payé deux adolescents, de 15 et 17 ans, pour simuler une fausse agression. Les deux femmes, âgées de 25 et 37 ans, ont payé les deux mineurs d’une somme de 200 euros pour mettre en scène ce canular. L’affaire commence pour une agression dans la gare du champ de Courses de Soisy-Enghein (Val d’Oise), vendredi dernier.
Gare du champ de courses soisy enghein agent SNCF mise en scène vacances
La police utilise rapidement les caméras de surveillance pour distinguer les deux agresseurs. Ces derniers sont rapidement arrêtés et avouent la mise en scène pendant leur garde à vue. Pour preuve, ils montrent les échanges de SMS avec les deux femmes employées à la SNCF. Les deux agents ont avoué avoir tout mis en place pour obtenir des arrêts de travail. L’une souhaitait avoir du temps pour se consacrer à la danse, l’autre voulait rejoindre sa famille en Guadeloupe. Elles risquent maintenant jusqu’à cinq ans de prison.



La France devra verser 6,5 M d'euros à un homme handicapé après une arrestation

La France devra verser 6,5 M d'euros à un homme handicapé après une arrestation

  • afp
  • le 31/05/2018 à 17:35 

Le jeune homme a 21 ans quand, le 30 novembre 2004, il est arrêté en gare RER de Mitry-Mory (Seine-et-Marne) par des agents de sécurité de la SNCF. Il est ensuite remis à la police qui le soupçonne de faire partie d'un groupe de lanceurs de cailloux sur un train dans une gare du réseau RER, repérés précédemment, ce que sa défense a toujours contesté.
L'interpellation est si brutale qu'il tombe dans un coma profond pendant plusieurs semaines. Il se réveillera avec une incapacité partielle permanente (IPP) estimée à 85%.
«C'était un grand gaillard plein de vie qui, du jour au lendemain, est passé à un état de légume», souligne Me Ursulet. Depuis, «sa vie quotidienne est toujours un calvaire»: il vit confiné chez ses parents dans un fauteuil, a perdu une grande partie de ses capacités d'élocution et doit être accompagné tous les jours par trois personnes et un tuteur.
- «Indécence judiciaire» -
Un juge d'instruction a pourtant conclu à un non-lieu dans cette affaire, une décision confirmée par la cour d'appel de Paris puis par la Cour de cassation en 2011.
Saisie en 2012 par M. Ghedir, la CEDH avait noté dans un premier arrêt rendu en 2015 que «des éléments contradictoires et troublants» avaient été rassemblés dans cette affaire.
Ces contradictions concernaient «notamment la violence dont Abdelkader Ghedir aurait ou non fait preuve lors de l'arrestation et celle dont il aurait été victime, ainsi que des variations dans les déclarations de certains fonctionnaires de police».
Alors que les agents SNCF avaient affirmé avoir procédé à «une interpellation modèle (...), les fonctionnaires de police y ayant assisté la qualifièrent de +musclée+», selon les juges de Strasbourg.
En outre, certains policiers avaient raconté avoir vu un agent de la Surveillance générale (Suge, la police ferroviaire de la SNCF) «donner un coup de genou au visage à Abdelkader Ghedir, alors qu'il était maintenu au sol», selon le rappel des faits par la CEDH.
«Derrière les traitements dégradants et inhumains qu'a subis M. Ghedir, la CEDH a condamné en creux la justice française sourde et aveugle et l'arrogance des juges d'instruction qui ont fait insulte à son statut de victime», estime Me Ursulet.
Après le non-lieu définitif de la justice française, Abdelkader Ghedir avait également été condamné à rembourser la somme, autour de 400.000 euros selon son avocat, que lui avait versée la Commission d'indemnisation des victimes d'infractions (Civi). «On a atteint là le sommet de l'indécence judiciaire», fustige Alex Ursulet, qui compte toujours faire annuler cette décision.
Le «grand gaillard» était passé à «l'état de légume»: la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) a condamné la France à verser 6,5 millions d'euros à Abdelkader Ghedir, lourdement handicapé après son interpellation par des agents SNCF et des policiers en 2004.
«C'est une décision historique, (...) la fin de 14 années de calvaire», s'est félicité jeudi auprès de l'AFP son avocat Alex Ursulet. «Cela montre qu'il ne faut jamais baisser les bras et se battre jusqu'au bout».
Rendu le 15 février et devenu définitif le 15 mai après un marathon judiciaire, l'arrêt de la Cour européenne des droits de l'Homme apporte, de façon retentissante, de l'eau au moulin des militants qui dénoncent sans relâche les «violences policières», dans les banlieues ou lors de mobilisations sociales.
«Cette décision met en lumière la tendance systématique de la justice française de donner raison aux forces de l'ordre dans les affaires de violences policières, où la parole des victimes est systématiquement mise en doute», a affirmé à l'AFP le délégué général de l'Action des chrétiens pour l'abolition de la torture (Acat), Jean-Étienne de Linares.
La CEDH a conclu qu'Abdelkader Ghedir avait subi des mauvais traitements et devait être indemnisé par l'État au titre du préjudice matériel et moral.



 

France : Une femme noire enceinte violentée par des agents SNCF


C’est une nouvelle vidéo qui fait polémique sur la toile en pleine affaire Adama Traoré et George Floyd. Une femme a été violemment immobilisée par des agents de la SNCF. Seul problème, la femme serait enceinte à en croire les cris d’un homme présent sur les lieux.
C’est une affaire qui tombe mal, alors que les populations noires manifestent un peu partout pour la justice et la fin des violences policières. Dans une vidéo partagée par  Toussaint Alain, on peut voir une jeune femme noire brusquement prise en étau et immobilisée violemment sur le sol par des agents de sécurité de la SNCF. Toutefois on ne saurait dater cette vidéo, mais le port de masque semble indiquer qu’il s’agit d’une vidéo récente.
Pour l’heure le contexte de l’interpellation de la femme ne sont pas véritablement clair, mais la vidéo fait le tour de la toile, certains dénonçant la violence avec laquelle la femme enceinte est traitée. Pis, les agents n’ont pas du tout changé d’attitude après qu’on leur ait annoncé que la femme était enceinte; un comportement plus que choquant !

CETTE ARRESTATION MUSCLÉE D'UN JEUNE PAR DES AGENTS DE LA SNCF FAIT POLÉMIQUE




Pierre à briquet étui

On vendait les pierres à briquet (aussi utilisées pour les allumes gaz) dans les bureaux de tabac dans  ces petits etuis tournants sous plexiglas.

BP Le trésor des Pirates collection

Collection : le trésor des Pirates
Pièces anciennes d'Espagne 1490
Offert à l'achat d'essence chez BP

TOTAL essence Collection pièces

Napoléon à la Beresina

TOTAL Essence collections pieces

Dans les années 60, les pétroliers ont lancé chacun des collections de pieces pour fideliser la clientèle

GERVAIS ICE CREAM cuillère

Cuillère à usage unique, donnée sur les Salons ( arts menagers, enfance. ..) pour deguster les glaces Gervais

Donneur de Sang : broche - pins

Années 60, insigne des donneurs de sang que ns portions au cas où ns serions en présence d'un accident qui aurait besoin de sang....

Boutons militaires armée Francaise

Bouton de tenues du corps de Santé (vers 1939)
2 boutons du Génie (1970)
Bouton des renues d'artillerie en 1915
Bouton des Transmissions (1970)

COCA COLA Miniature

Bouteille Coca Cola porte clef offerte dans les années 1960 au salon de l'enfance à Paris ( au grand Palais)

Convertisseur Franc Euros

Simplement en inclinant la carte, on avait directement le change.
Pas besoin d'informatique compliquée.

Carte offerte par PARADIFFUSION
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